Les campagnes françaises ne sont pas homogènes et leur diversité a longtemps été occultée par le « prisme dominant de l’urbain » dans les politiques d’aménagement, selon un rapport publié mardi, qui appelle à « changer de regard » sur les ruralités.
Les campagnes françaises ne sont pas homogènes et leur diversité a longtemps été occultée par le « prisme dominant de l’urbain » dans les politiques d’aménagement, selon un rapport publié mardi, qui appelle à « changer de regard » sur les ruralités.