En France, l’agriculture émet aujourd’hui près de 20 % des gaz à effet de serre responsables du changement climatique. Or, c’est aussi l’un des seuls secteurs (avec la forêt) capable de stocker du carbone additionnel dans les sols. Intercultures, meilleure gestion de la fertilisation azotée, moindre travail du sol… En grandes cultures, les leviers pour y parvenir commencent à être connus. Mais comment cette démarche bas-carbone est-elle valorisée ?