Un arrêté paru au Journal officiel le 22 juin précise les conditions dans lesquelles des tirs de défense contre le loup peuvent être accordés aux élevages bovins et équins, considérés par défaut comme « non protégeables ». Deux voies permettent d’y accéder. Le cadre général suppose qu’un élevage ait subi une prédation au cours des 12 derniers mois et qu’il ait mis en place au moins une « mesure de réduction de vulnérabilité », dont la liste a été créée par l’arrêté paru le 22 juin. Le second cas concerne les « territoires soumis à un risque avéré de prédation », soit «…