L’autorégulation des marchés, grâce à la compétitivité, conduit, dans le secteur agricole, à une dégradation de la biodiversité, à une surexploitation des sols et à l’extension de la malbouffe, souligne l’essayiste Gilles Luneau dans une tribune au « Monde ».
« L’accord UE-Mercosur est le fruit pourri de décennies d’errance productiviste de la PAC »

