Dans un communiqué paru le 4 juillet, les chambres d’agriculture demandent qu’un texte législatif soit dédié aux « courants parasites », afin d’imposer notamment qu’un « état des lieux électrique et technico-économique » soit réalisé préalablement à l’implantation d’aménagements énergétiques. Selon les chambres, les élevages français sont « potentiellement exposés à des phénomènes électriques en raison de leur proximité croissante avec le réseau de transport d’électricité, ainsi que le développement des parcs éoliens, des installations photovoltaïques et des antennes relais de téléphonie mobile ». D’après le réseau consulaire, des « courants…