A mi-parcours, le scrutin s’étant ouvert le 15 janvier et devant s’achever le 31 janvier, la Confédération paysanne a tiré le signal d’alarme. Elle estime que « le droit de vote des électeurs et des électrices n’est pas garanti par le ministère et les préfectures ».
Des soupçons de « dysfonctionnements » pour les élections aux chambres d’agriculture
