Exportations en hausse aux États-Unis et effet de changes : le ministère américain de l’agriculture (USDA) a revu à la baisse jeudi ses estimations de stocks de blé outre-Atlantique, mais aussi à l’échelle mondiale, dans son rapport du mois de juin.
Catégorie : Actualités
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Après sa sévère récession, le marché du bio cherche de nouveaux clients
Comment faire progresser les ventes de produits bio en France ? A lire les chiffres que l’Agence bio, chargée de leur promotion, a publiés jeudi, il …
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Le cadmium, « un sujet important », estime le ministère de l’agriculture
Les contaminations au cadmium, qui affectent les Français du fait d’engrais phosphatés dont les traces se retrouvent dans le pain ou les pommes de terre, sont « un sujet important », a réagi jeudi le ministère de l’agriculture, sans donner d’éléments sur le sort d’un arrêté visant à le limiter.
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Départs à la retraite : en attendant la vague
Cela fait bientôt dix ans que la MSA alerte sur l’imminence d’une vague de départs à la retraite, soulignant à raison que les agriculteurs vieillissent. Et pourtant le taux de départs des agriculteurs a peu évolué depuis. La vague est donc à venir, sans que l’on sache précisément quand et comment, beaucoup de départs étant tardifs en cultures végétales ou bovins viande. À partir des projections linéaires du ministère et de celles de la Cour des comptes, on peut s’attendre à ce que le taux annuel de départs passe tendanciellement de 6 % à 8 % d’ici 2035, avant de refluer. Mais une approche plus fine est nécessaire. La vague est déjà en cours dans la filière laitière depuis 2018 – où elle aurait déjà passé son pic. Ailleurs, les données manquent. L’observatoire national de l’installation-transmission – annoncé il y a dix ans – n’a jamais vu le jour.
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Départs à la retraite : en attendant la vague
Cela fait bientôt dix ans que la MSA alerte sur l’imminence d’une vague de départs à la retraite, soulignant à raison que les agriculteurs vieillissent. Et pourtant le taux de départs des agriculteurs a peu évolué depuis. La vague est donc à venir, sans que l’on sache précisément quand et comment, beaucoup de départs étant tardifs en cultures végétales ou bovins viande. À partir des projections linéaires du ministère et de celles de la Cour des comptes, on peut s’attendre à ce que le taux annuel de départs passe tendanciellement de 6 % à 8 % d’ici 2035, avant de refluer. Mais une approche plus fine est nécessaire. La vague est déjà en cours dans la filière laitière depuis 2018 – où elle aurait déjà passé son pic. Ailleurs, les données manquent. L’observatoire national de l’installation-transmission – annoncé il y a dix ans – n’a jamais vu le jour.