La baisse de la monnaie brésilienne pénalise le marché mondial, alors que celle de l’euro face au dollar pousse à la hausse du prix du sucre en Europe.
La baisse de la monnaie brésilienne pénalise le marché mondial, alors que celle de l’euro face au dollar pousse à la hausse du prix du sucre en Europe.
De meilleures conditions climatiques dans l’hémisphère nord et l’arrivée prochaine sur les marchés des céréales moissonnées en Australie et en Argentine ont détendu les cours. Même s’ils ont rebondi depuis le 18 novembre dernier, les prix restent anormalement bas.
La flambée des prix des huiles se répercute sur le prix des graines de colza et de tournesol, qui franchissent de nouveaux seuils, surtout en Europe, mais aussi au Canada.
Depuis la flambée de fin septembre, les cours du sucre brut et du sucre raffiné semblent pris de torpeur. Le marché européen spot montre cependant des frémissements haussiers.
La Chine et le Moyen-Orient vont importer moins de blé cette campagne, alors que le Kazakhstan accroît ses exportations de 50 %. La Turquie se concentre sur son marché intérieur aux dépens de son industrie meunière axée sur l’export.