Le printemps humide, l’été maussade et le mois de septembre pluvieux n’ont pas favorisé la croissance des betteraves. Les semis tardifs, la cercosporiose et le mildiou expliquent des premiers rendements décevants. Et surtout, la richesse n’est toujours pas au rendez-vous.
Catégorie : Actualités
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Anticiper pour bien céder
De nombreux agriculteurs vont atteindre l’âge de la retraite dans les dix prochaines années, parfois sans repreneur familial. Si la question de l’installation des jeunes est sur le devant de la scène, celle du départ des aînés est souvent moins traitée. Pourtant, une cession réussie est avant tout une cession anticipée.
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Le prix moyen 2023 dépasse les 50 €/t
Presque tous les groupes sucriers ont annoncé les prix de betteraves pour 2023. Bien que les coûts de production aient considérablement augmenté, la marge est l’une des meilleures de l’assolement. Attention cependant, les cours du sucre se dégradent depuis le début de l’année et une baisse de plus de 10 euros la tonne se profile pour les betteraves 2024.
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Matthieu Lenglet, cofondateur du projet Ecofrost
Participer à la création d’une usine de frites dans le Santerre est une satisfaction pour cet agriculteur betteravier. Reportage.
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La plaine est en retard, vigilance sur la cercosporiose !
Si les limaces et les tipules ont attaqué les semis de betteraves 2024, entraînant des pertes de plants, les pucerons vecteurs de la jaunisse ont, semble-t-il, été peu virulents. Par ailleurs, le désherbage a bien fonctionné, parfois trop, mais la vigilance reste de mise pour surveiller le développement précoce de la cercosporiose. État des lieux au 10 juillet.