La profession, réquisitionnée lors des opérations d’abattage des troupeaux atteints de cette maladie contagieuse, fait ces derniers jours face à un déferlement de haine jamais vu, entre intimidations physiques et mesures de sécurité.
Cagoules, escortes de gendarmerie, menaces : avec la crise de la dermatose, les vétérinaires face à un «déferlement de haine»

