L’heure de la moisson de l’orge a sonné, les surfaces plantées sont moindres mais les rendements sont bons. Cependant, le cours de la céréale, plombé par l’Ukraine qui brade les prix, n’enrichira pas les agriculteurs cette année, explique Laurence Girard, journaliste économiste au « Monde ».
« A ce niveau de prix, les coûts de production de l’orge ne sont pas couverts »
